• "Romain Michel"

    je t'appelle parceque j'ai laissé quelque chose sur le feu
    j'ai un début de conjonctivite-ma soeur tu sais l'infirmière-ellle dit que des animaux marin viennent s'échouer régulièrement prés de chez elle-leur ventre est plein de cailloux rare-l'autre fois j'étais choqué tu aurrait pu t'en rendre compte quand je me bouche une oreille- oh si c'est pour faire cette tête, non-les femmes des assurances, tu sais elles me proposées de résumés les prestations en sept points-je ne veux plus entendre parler de cette immeuble, alors je lui est dit que j'en avais rien à foutre des croisières, tu me crois si tu veux mais d'en l'angle mort j'aui vu cette chose-non, pas une réflexion sur la mort-tu est sourde ou quoi? ne bouge pas-je me souvient aussi du vieille organiste-tu en tire une tête-bien sur on la recousue aprés- c'était un cercle de quinze centimètres de diamètre imprimé dans la chair, ma pauvre-je ne vois pas de quels secousses tu veux parler-le bon sens voudrait que je me sois enfuis qu'on met cherché sous les rondins-que l'on tienne un compte des piqures-que dans abreuvoir il y est la même quantité d'avoine-que poussé ce "roque" soit bien rétribué-qu'on l'achève enfin, que ce corps soit mis à frire dans les épousailles-l'ubik-si on se tait, si on se fait-l'ubik-si on se fait la moindre critique-tu n'auras qu'a répondre, que tu te contrefoutais des rêgles-l'ubik-on aurait pu y répondre à deux fois-j'avais sélectionnais différentes espèces-l'ubik-chacune dans son genre, aurait pu nous enseignais un fragment de vérité-l'ubik-on la bue, elle ressere a chaque occasion, c'est une éreinté-l'ubik-la moindre bavasserie la contente-l'ubik-cele forme un entonoir-l'ubik-une bourse vient s'y adjoindre-des processionnaires viennent y pondre un oeuf-l'ubik- une fois vide le vermicelle accomplie une rotation sur lui meme et s'effondre-l'ubik-c'est quand même pas difficile de raconté-vous êtes porte "mayo"-ce qui te passe par la tête-vous êtes place "clichy"-quand tu récite ton sempiternel bulletin météo-je récapitule-un gout de chiotte me vien dans la bouche-je-jevais-je vais-l'ubik-je vais t'attribuer-porte mayo-je vais t'attribuer un nouveau nom-désormais vous e^tes place clichy-désormais tu te présenteras comme suis, non, non-je récapitule-tu-tu-attendra que l'on te nomme de cette façon pour réagir-rien de grand sur l'immensité de ta volonté-le reste du temps tu n'auras qu'a te contenté de pain sec et d'eau-tu n'aura qu'à crier à la volonté de t'es paires disparues-mais je te mens continuellement, je devrais me faire violence-l'ubik-récolte moi au petit matin, le nez dans ton cul, les oreilles au frais-cette sacoche contient toujours de l'ail, et je n'est pas le mode d'emploi-si, tu crois que j'oublie les vielles pensées méchante que tu avais sur l'ensemble des hommes que tu cotpyé-sous quatrevingt dix couches ont peut sentir vibrer le chant roque de la fécalité -comme cette fois tu t'es prise pour un maçon, technique apprisses sous un boubou, des jour d'ivresses rituelles et de privations-la ou les deux dames s'exhibé expressement pour les deux hommes présent, tout nus-loin de chez moi , loin de chez toi, loin de chez moi, la ferme maintenant tu te tait et tu parle-la ferme la ou tu aimais les cochons,les gros cochons, les gros cochons que tu aimais temps-maintenant tu te tais et tu parle, tes subyerfuges et tes faux départ,je-m'en-quel-que-cuitre-je m'ens-qu'une ras oré sal chadi or - or tu étais content avec tes adidas a trois bandes dégeulasses qui dégoulinait sur le parquet de ta mère-la première nuit te coutera- tu n'auras qu'a te glissé dans le creux de mes reins pour ta petite affaire- elle était belle ta petite affaire, ta cainqaillerie, ton bordel de bijou en toc, tu étais comptant de le vendre à toutes ces poufs du marché- tu étais contente de leurs donnait leur amas de bonheur-leur petites joies paternalistes-ça te faisais jouir, salopard-tu demande tant à ton enfants-a tes enfants-à mes enfants-à ce qui ont croupis à la sueur de ton front pourri-un prince borné d'utilité publique-une république petit cachotié je te surprend à pourir en douce-c'est maintenant que l'on mesure le changement qu'est l'orchestration faramineuse-tu était content à notre première expérience échangiste, tu en as donné beaucoup dans le tartarin de cette pouf, et que tu ma laissé avec cet éventré, cet espèce de poilu mangeur de Yéti-tu étais content de l'orgasme que tu pris-la chose depuis le début se déroule selon une rigoureuse triangulation-andré cacochime-andré cacochime-ce sera une douleur mais tu seras connu de tous comme la séquence opaque d'un corps primordial-tu l'aimais ton caméscope sony uh192-tu l'aimais quand il faisait des gros plans, des gros plans sur mon cul plein de foutre-tu aimais quandt elle criait la véranda, qu'elle criait, véranda que tu aimais l'appelé; comme celle que tu n'as jamais voulu nou fabriqués pour moi et mes enfants, notre dégénesrescence-couche toi, reste ici, tu peux rester jai du dermophile indien-c'eest à cette époque que j'ai commencer à photographié des crachats dans la rue, toutes sortesv de matiéres difficcile à identifié, j'avais fain tu vois, j'avais fain-j'avais faim- il m'enfalait toujours plus-j'avais faim-de l'immondice-j'en avais faim de de ta crouille-de tous ce qui en descendé, de ton anus flagélé par tant d'année de froid et de haricos vert, que tu ingurgité par ton petit trou qui remplacé ta grande bouche-ce pugilat de passage à l'acte m'ont contentés un moment puis j'ai foutu le camp vers le sud, où il était acquis-il s'y tenait une grande exposition d'histoire naturelle-tu l'aimais la nature et l'histoire quand elle donnait des biens fécond entre mes cuisses flagellé de cellulite-tu l'aimais quand elle criait a la bave tel ses escargot fulminant dans sa réserve appropriationiste-un nombre de specimen incroyables , les musées de tout le pays mis à contribution des sentinelles de poils de plume, d'écailles la marées déferlante de chlorophormes-tu en a vu des titanic- des dvd brisés sur les jours sans lendemains de femmes innocentes tabassé par leur mari aprés une soirée bien arrosée- des milliers de regards vitreux braqué sur le corps sans essence des badauds-je me suis retrouvé dans une drole de situation, j'ai du composer, beaucoup me taire, achevé le slovak comme on dit quand on vzeut l'ouvrir-ce n'est pas la condescendence qui lui a permis de ce sortir de ses vieilles hippopotames de femmes, une fois célibataire, rencontrer dans myspace.com-via ta connexion à quinze euros par mois la quelle contenait tous les appendices de tes fantasmes - c'est avec une sorte d'écoeurement flagélé comme si je devais nettoyé la crasse purpurile entre les orteilles de ma langue pourrie-ils donnaient l'impression de ce comprendre mais qu'avait-il compris réllement- des espèces d'orteils mal coupés plens d'immondice purulent et de verrus inexploités s'enfonçant jusqu'a la garde.-tu étais content que personne ne sois a la garde de mon hygiène

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